Ce que l’association UNFF m’apporte aujourd’hui, c’est un genre de thérapie. Ca me permet de parler de cette souffrance avec des gens qui savent ce que c’est de vivre après un féminicide. J’ai enfin pu parler de cette souffrance, au bout de 7 ans, alors que j’avais beaucoup de mal à en parler. J’ai aussi fait plein de belles et bonnes rencontres, et j’aimerais tellement pouvoir aider des femmes et des enfants qui vivent ou ont vécu cela.
Les membres de notre bureau sont eux-mêmes familles et proches de victimes :
- Nous guérissons ensemble
- Nous avons navigué dans la complexité administrative
- Nous avons l’énergie d’œuvrer pour le ‘plus jamais’,
en mémoire de nos proches